OpenStreetMap est un projet collaboratif gratuit, libre et ouvert à tous les citoyens.
Il permet à chaque utilisateur de sauvegarder des informations sur une carte en libre accès et peut être vu par tout le monde. Sur la base du volontariat, les cartographes bénévoles, partout à travers le monde, peuvent apporter une modifications ou encore corrigées les données des chemins, cafés , routes et ce qui les entourent . Pour cela , ils vont s’aider des récepteurs GPS ,de l’imagerie aérienne , des données reçus sur place et aussi de cartes classique du lieux afin de confirmer que les données d’OpenStreetMap sont à jour, complètes et exactes.
Les traceurs GPS sont-il sécuriser ou peuvent-il provoquer un danger ?
Faut-il utiliser des traceurs GPS pour surveiller des personnes ?
Un traceur GPS comporte un récepteur GPS et un émetteur GSM .Il a été conçu pour suivre en temps réel et de manière très précise la position géographique à distance d’une personne, d’un véhicule d’entreprise, des biens…
Il permet aussi de collecter une certaine quantité d’informations sur leurs actions effectuées au sein de leurs journées et donc d’améliorer leurs sécurités et leurs biens . Ils peuvent aussi géolocaliser une personne à son insu mais seulement si l’individu en est informé , dans le cas contraire il s’agira d’une atteinte à la vie privée, acte passible d’une sanction pénale.
Un traceurs GPS a été également conçu pour localiser les enfants , les personnes âgées, les animaux de compagnie et même des voitures afin de veiller sur eux . Mais pour réaliser cela il vont devoir dévoiler toute leurs données envoyés dans le Cloud et permettrons aux usurpateurs l’accès aux coordonnées GPS en temps réel .
En effet, le système comporte des failles de sécurité ,et certaines personnes vont en profiter pour usurper la localisation ou d’accéder aux microphones. Tous ces éléments prouvent qu’au départ un traceurs GPS est un système permettant d’assurer une sécurité mais qu’il n’est pas encore au point par son manque de fiabilité qui pourrait mettre en danger autrui.
Une voiture autonome est un véhicule dont la conduite est partiellement ou entièrement automatisée, grâce à un programme d’intelligence artificielle décidant quelles manœuvres la voiture doit effectuer lors de différentes situations (clignotant pour tourner, freinage pour respecter la distance de sécurité…). Cette prouesse technologique est possible dû à l’installation de radars, de capteurs lasers et de caméras sur la voiture. Le fonctionnement de cette machine se fait par la perception puis l’analyse des informations, les décisions prises par la voiture puis l’activation des choix définis.
On distingue plusieurs niveaux de conduites de voitures autonomes, allant de 0 à 5 : manuelle, assisté, partiellement automatisée, conditionnellement automatisée, hautement automatisée et totalement automatisée. Cette voiture autonome a évalué au fil du temps : dès 1939, certains systèmes comme les régulateurs de vitesse ou l’aide au freinage étaient déjà expérimentés. Dans les années 1970-1980, les Japonais faisaient leurs premiers essais de voitures autonomes. 10 ans plus tard, ce sont des ingénieurs en robotique Européens et Nord-Américains ainsi que Mercedes qui ont testés plusieurs prototypes. Au fil des années, plusieurs recherches ont été effectuées mais c’est en 2010 que ce sujet devient médiatique, lorsque Google a annoncé travailler sur ce projet. 10 ans plus tard, cette évolution technologique a énormément progressé et il serait même prévu qu’entre 2020 et 2025, certaines voitures autonomes de niveau 4 et 5 pourraient être commercialisées.
Malgré tout, avant de pouvoir rouler librement, les constructeurs devront mettre en confiance les potentiels acheteurs. En effet, une voiture autonome demande une totale confiance en une machine, et plusieurs personnes se méfient et ont peur des risques que pourraient provoquer ces machines, notamment les accidents, ou le piratage des ordinateurs contrôlant la voiture. C’est pourquoi il faudrait garantir une cybersécurité maximale. De plus, une loi devrait être aussi mise en place sur la responsabilité d’un individu possédant ce type de voiture en cas d’accidents. La législation doit donc encore évoluer pour autoriser la mise en circulation de voitures entièrement autonomes, ne nécessitant plus l’action d’un conducteur.
Une fois tous ces challenges et enjeux dépassés, les voitures autonomes permettront aux conducteurs de gagner du temps et à long terme, de rendre plus sûr l’ensemble du transport routier.
Le géomaticien est un exploiteur de données géographiques et cartographiques, dans le but de répondre aux besoins de ses clients. Cet expert va analyser et modéliser le territoire pour envisager la construction de crèches, maisons de retraites, dans des zones adéquates. Spécialiste des questionnements concernant l’agencement du territoire, ce métier mêle maîtrise de l’informatique et de la géographie. En effet, les secteurs ayant besoin de cette observation spatiale sont l’environnement, le marketing, l’urbanisme, le transport, l’énergie… Dans la fonction publique ou privé.
Ce métier varié comporte diverses activités, comme la production de cartographie, le traitement et la diffusion de données… Ce métier à forte demande exige d’aimer la géographie, ainsi que les mathématiques et l’informatique.
Pour devenir géomaticien, les études vont d’un BAC +2 (BTS métiers du géomètre-topographe et de la modélisation numérique ou DUT) jusqu’à un BAC +5 (master en géomatique ou géographie / diplôme d’ingénieur). Les diplômes requis peuvent être spécialisés en géographie, aménagement, sciences de la vie et de la terre… Mais toujours avec une spécialisation en géomatique.
Le salaire mensuel débutant est de 2 000€ brut par mois.
Le droit à l’oubli est un droit qui est appliqué au sein de l’Union Européenne ainsi qu’en Argentine. Cela consiste à demander la suppression d’informations faits auparavant et qui, à présent, pourrait nuire à l’individu. L’internaute peut demander un droit à l’oubli sous trois genres différents : le droit de l’opposition qui s’applique lors de la diffusion de données personnelles qui est publié de manière « interdite » lorsque les informations sont divulguées sans que la personne en question soit consentante.
Il y a le droit à l’effacement qui lui concerne plutôt les fichiers et vidéos , il s’agit souvent d’une personne qui demande au titulaire du site web d’effacer toutes les URL le concernant.
Enfin, le droit au déférencement qui permet de supprimer certaines requêtes fournis par un moteur de recherche à partir d’une identité, mais parfois le contenu de cette page reste présent. Ce sont donc pour toutes ces raisons qu’il faut redoubler d’attention avant de divulguer des informations sur internet, car il est très difficile de les effacer totalement…
Au milieu des années 90, le Web a révolutionné la vie quotidienne et la gestion des entreprises, a transformé les relations économiques et sociales et il est devenu le média qui a connu la plus forte croissance de l’histoire de tous les moyens de communication. C’est aussi une énorme révolution de l’informatique qui a modifié les rapports entre les pays et les hommes. 30 ans plus tard, l’utilisation du Web est devenu primordial, voir vital. Poussé à la fois pas les évolutions technologiques et par les nouveaux usages, Internet a passé trois caps principaux, du Web 1.0 au Web 3.0. Tout d’abord, le Web 1.0 était synonyme de Web statique car il était en mode « lecture seule ». L’internaute avait donc un rôle passif car il pouvait seulement lire le contenu des sites Web mais ne pouvait pas interagir avec d’autres personnes comme aujourd’hui. C’est l’apparition des forums lors du Web 1.0 qui a permis l’apparition du web 2.0. Ce dernier est apparu dans les années 2000 et n’était plus considéré comme statique mais social grâce à l’émergence des réseaux sociaux comme Youtube (crée en 2005) ou encore Wikipédia (en 2001). Le Web 2.0 est donc l’emblème de la communication et du partage d’informations. A partir de 2006, le Web 3.0 est arrivé aussi appelé sous le nom de Web sémantique. Il est visé à se centrer sur l’humain : par exemple, des recherches personnalisées sur Google, des filtres de recommandations sur Amazon, les suggestions personnalisées de films et de séries TV sur Netflix etc… Aujourd’hui, le web 4.0, évoqué par certains comme le web intelligent, effraie autant qu’il fascine car il est définit comme étant la possibilité de travailler avec des outils uniquement en ligne. Cette évolution n’est pas fini, et nous ne serons pas surpris de l’arrivée de la 5ème génération du Web…
Rumeurs, prolifération, sites pariodiques ou manipulations d’images : la vérité ne sort pas toujours de la bouche d’Internet… En effet, face aux nombreuses informations que l’on peut trouver sur le Web, il faut rester vigilant et ne pas croire tous ce que l’on peut lire, et encore moins partager une information dont nous ne sommes, nous-même, pas sur de sa véracité. C’est pourquoi nous allons vous donner quelques conseils pour vérifier si une information est vrai…ou pas !
Tout d’abord, il faut identifier l’auteur du message, donc sa source. Il faut voir si cette dernière provient d’un média connu, d’une personnalité publique ou bien d’un site ou d’un internaute dont personne n’a entendue parler… Ensuite, il faut toujours partir du principe qu’une information lue sur le Web a plus de chance d’être fausse que vraie. Nous vous recommandons de vérifier vos informations à partir de médias connus, et il est même mieux de vérifier son information en dehors d’Internet, comme des encyclopédies, des livres, ou à une personne qualifiée. Ne vous fiez jamais à des informations que vous pouvez trouver sur Wikipédia car elles sont écrites par des personnes aussi qualifiées que vous et moi.
Pour vérifier la fiabilité d’un site, nous vous recommanderons quatre vérifications essentielles : les mentions légales (qui sont obligatoires), les conditions générales de ventes, le protocole https qui vous permet de vérifier si un site est sécurisé et enfin, quelque chose qui peut vous paraître anodin… L’orthographe ! En effet, un faux site sera généralement rempli de fautes d’orthographes.
Mais, de nos jours, un autre problème a envahi les réseaux sociaux : les fake news. Ces dernières sont partagées par énormément de personnes, qui ont tendance à croire tous ce qui peuvent lire. Un like sur Instagram, un retweet sur Twitter et en un claquement de doigt, une fausse information est connue et crue par tout le monde ! C’est pourquoi, sur Internet, le maître mot est : la vigilance. Mais seulement sur Internet ? Comment être sur que les informations provenant de la télévision soient vraies ? Cette question soulève un tout autre débat. Une chose est sûre, les fausses informations n’ont pas finies de circuler…
Vous aimez l’informatique ? Vous recherchez un métier avec des activités variées et qui est recherché par les recruteurs ? L’univers du numérique vous passionne ? Intéressez vous au métier de développeur Web !
Un développeur web est un véritable ingénieur informatique car il crée des programmes sur mesure en fonction de la demande du client. Expert en langage informatique, il traduit cette demande de projet en code informatique. C’est une personne autonome et polyvalente capable de réaliser l’ensemble des fonctionnalités techniques d’un site web. Ce métier demande une excellente maîtrise de l’informatique et de ses langages (SQL, PHP). Ce métier touche trois principaux secteurs : informatique, internet et télécommunication. Pour pouvoir accéder à ce métier, il faut, minimum, avoir un BTS services informatiques aux organisations ou le DUT informatique, donc 2 ans d’études. Cette formation peut être complété par une licence professionnels aux métiers de l’informatique (1 an). Mais la majorité des personnes exercant ce métier ont un master ou un diplôme d’ingénieur et certaines possèdent même un master spécialisé en technologies du web et cyber sécurité, donc 6 ans d’études après le bac. Un développeur Web gagne environ 2 000€ net par mois, mais la rémunération augmente très vite avec l’expérience. De plus, ces professionnels sont très recherchés car nous sommes en pleine révolution numérique.
« Denial of service » signifie une attaque par dénis de service .
C’est une attaque qui rend incapable un serveur ou une application informatique de répliquer a une requête car le serveur est submerger de requêtes simultanément. IL est très compliqué voir impossible de différencier une requête basique d’une attaque par dénis de service . Des hackers ont construit une armée de « zombies » qui piratent n’importe quel objet connecté ayant une mauvaise sécurité. Cela se produit en lançant énormément de requêtes en même temps pour que le serveur ne soit plus en capacité d’y accéder. Après être piraté, les hackers vont diriger l’objet connecté à distance. C’est pour cela qu’il faut toujours bien sécurisé toutes nos machines connectées car cette cyberattaque pourrait, dans les années à venir, anéantir Internet. Cette attaque est très dangereuse, elle pourrait causer de nombreux dégâts comme par exemple au sein des entreprises car ce ne sont pas seulement les téléphones et les ordinateurs qui sont touches par cette attaque mais aussi les alarmes, les caméras de surveillance ainsi que les cartes bancaires effectuant un achat sur Internet lors du virus déjà présent.